Mon RP : le prix des rêves.

Bon aller on enchaine, ici pas de flood, je posterai un chapitre toutes les semaines ^^ ( je créerai un topik pour les commentaires )
aah oui et si un modo ou admin passe par là, si vous pouviez mettre en post-it ^^ merci! ( effet du 2e chiantos )
j'éspére que ca va vous plaire ^^ ( ca a été mes premiers pas en écriture de RP même si j'avais déja écrit un p'tit échantillon de roman y a de ca qqes années )

Chapitre I : réveil douloureux

L'homme se tenait au milieu d'une vaste étendue déserte, un desert s'entendant à perte de vue. Il marchait, tout droit, sans jamais s'arreter. La nuit tomba, mais l'homme continua à courir, sans relâche.
Puis ce fit entendre un bruissement d'aile dans le noir total, pris de panique, L'humains ce jetta à plat ventre. La terreur l'envahissai, quelquechose lui en voulait... Quelque chose ?? voilà une pensée qui fut extremement terrifiante, qu'est-ce que cela pouvait bien être ? Il se releva, courant aussi vite que ses jambes fatigué le lui permettaient...Un bruissement d'aile, plus prés... Pris de panique, il regardit tout de même derriére lui... Grave erreur, un caillou placé là par la malchance le fit tombé face contre terre. Un autre bruissement, au sol, l'Homme se retourna et vit fondre sur lui une créature cauchemardesque : des ailes de chauve souris, une face en lame de couteau possédant une gueule béante verticale remplis de crocs longs...longs, et coupant comme des rasoirs certainement. Un corps difforme, 4 bras terminée par des immense griffes, 2 étaient pointé vers l'homme, mais surtout il vit deux yeux de serpent d'un jaune vif, et y lit sa mort. Il entendit un cri, puis ce rendit compte que c'était son cri. La créature s'abbattit sur lui, il sentit un poids sur son corps.

Le chat eu la plus grosse frayeur de sa vie lorseque son maitre assoupi, sur lequel il était venu dormir, se réveilla en sursaut, Couvert de sueur.

- aaarrrggg, je hais les cauchemars, mais quelle heure est-il ?

Vérifiant sur son réveil, l'homme fit tomber par inadvertance un livre de sa table de nuit, cela fut suffisant pour le faire sursauté.

- bordel ! Superbe la journée qui s'annonce si ca commence déja comme ca !

8h30 au réveil, appuyant sur un bouton sur le mur, qui déclencha l'ouverture de la maison et l'activation de sa messagerie, l'homme partit s'habiller, il se vit dans le miroir, c'était un homme simple, légerement joufflu, cheveux chatains, des yeux d'un vert tournant vers le gris. Cette apparence simple caché ce qu'il était en réalité : Le president du conseil des 9 colonies.
S'asseyant devant sa console de messagerie, il eu droit à un message de priorité absolue, envoyé par son secretaire, qui lui intima "l'ordre" de se rendre au plus vite dans le palais présidentiel pour une affaire urgente.

-Qu'est-ce que je disait hein ?? Je me disais bien que cette journée commencais mal.

Arrivé au palais dans les plus bref délais, le president des colonies fut assailli par son état major, dans le brouhaha général, il entendit 2 mots : attaque, allié.

-SILENCE !! Que l'on m'explique ce qui se passe tout de suite ! Et un à la fois !

son ministre délégué au affaire étrangére pris la parole :

- Ce matin à environ 6heures nous avons reçu un message trés faible provenant d'un de nos allié monsieur, nous somme toujours en train de décoder le message, cependant il dit clairement qu'une attaque massive à eu lieu sur 6 planètes appartenant à L"empire de darkhast. Il nous appelle à l'aide monsieur
-Hmmmm, trés bien , je veut que le conseil sois réunis le plus vite possible, réveillez les si necessaire ! Et faitent annulé les permissions de nos militaire ! M'est avis qu'on va avoir droit à de l'action...

Chapitre II : la chambre du conseil

30 Minutes plus tard, les 8 dirigeant des colonies furent réuni, tous en hologrames car il était impossible de les faires réellement venir en de si bref délais.
Le président s'exprima :

-Honoré membres du conseil, nous somme aujourd'hui réuni en toute urgence pour parler d'une affaire de la plus haute importance.
Ce matin à 6 heures nous avons recu un message provenant de la planèteDarkness, nos alliés de l'empire de Darkhast qui s'y trouve ont été attaqués en masse par un ennemi inconnu, ils nous ont appelé à l'aide.
Or d'aprés le pacte signé il y a de cela 3 ans nous nous devons de leur porter secours, comme ils seraient venu au notre dans un cas similaire. Etes vous d'accord pour que l'ont aille leur porter secours ?

Un brouhaba lui répondu, le dirigant Faeran, de la planéte Evaine, la plus puissante des colonies, se leva et pris la parole :

-Pourquoi devrions prendre le risque d'être attaqué, voir détruit, par un ennemi qui , vous l'avez dit, est inconnu ?? Devons nous vraiment risqué nos vies pour des gens à qui nous n'avons eu à faire que trés rarement ?? Soit nous avons signé un pacte, mais ce n'est qu'un morceau de papier contenu dans un cadre ! Notre empire vit en paix depuis prés d'un siécle et nous n'allons pas entré en guerre sur un coup de tête, parceque un allié c'est fait attaqué ce matin même à 1973 années lumiére d'ici !

Un murmure d'approbation parcouru l'assemblé, seul Aris, dirigeant de Shandril, 2e colonie, resta de marbre devant les propos du dirigeant d'Evaine
Le président le regardit, guettant son soutien qu'il lui accordait habituelement, pas de reaction... Il décida de prendre la parole d'un ton vénimeux :

-M'est d'avis, monsieur Faeran, que vous savez pertinnemment que votre colonie est la plus proche de celle de notre allié et que par conséquent que vous serez peut-être les premiers à partir au front.
M'est d'avis aussi, que vous avez peur et que vous vous cachez derriére le mot "paix" pour ne pas avoir à le montrer et à assumer votre rôle de chef de guerre.

La phrase souleva un tollé général dans le conseil :

- C'est inadmissible ! Nous exigons la création d'une commission d'enquête pour allé voir ce qui ce passe réellement chez notre allié !
- Oui ! envoyons une commission d'enquête ! Evitons de foncer tête baissée dans les problémes !

Soudain, Aris se leva telle un diable sortant de sa boite :

-C'est nous qui allons avoir des problémes si nous ne réagissons pas ! Si nous laissons nos alliés mourrir seul au front, alors qu'est-ce qui empechera nos alliés de ne pas nous porter secours quand ce sera nous qui serons en difficulté ?!?

Le president lui fit un signe de tête en remerciement, la remarque ayant touché de plein fouet les conseillers hostile au déploiement de l'armée. Il décida d'enfoncer un peu plus le clou :

-Messieurs, si nous ne portons pas secours à nos alliés, alors nous en somme pas digne de gouverner quoi que se soit ! C'est que nous ne sommes que des égoïstes !

Les conseillers, véxés pour certains, décu pour d'autres, se disputérent alors sur la décision à prendre, insulte fusant de toute part, menace, argument de tout bord venai ajouté à la confusion. Le president senti la colére monté en lui, une colére qu'il commencais à avoir peine à controlé, il ordonna le silence, sans résulta, une deuxiéme fois, sans résultat...S'en était de trop. La colére explosa, aprés toutes ses années passées à supporter ce trop fameu et belliqueu "conseil". Il cria le mot silence si fort que les conseillers ce turent :

-Puisque ce conseil n'est pas capable de prendre une décision sans se disputé, puisqu'il n'est pas capable de gouverner sans se préoccupé de ses petits interets et de ses querrelles intestine...En conformité avec l'article 7.15 je dissous immédiatement le conseil des colonies et jusqu'a nouvel ordre j'assumerai les plein pouvoir, puisqu'il faut une dictature pour vous faire avancer alors qu'il en soit ainsi !!! Et maintenant HORS DE MA VUE !!!

Les conseillers furent évacuer par la garde dans la plus grande pagaille.Puis il s'addressa à Aris :

-Restez mon ami, j'ai une mission tout a fait particuliére à vous confier...

Chapitre III : Le bon vieux temps

Sortant tout deux de la salle de conseil, ils partirent vers les jardins du palais pour pouvoir parler en toute tranquilité :

-Mon ami, Aris. J'ai toujours eu confiance en vous, vous avez été le seul à me soutenir lorseque j'en avait besoin, et de cela je vous en remercie du fond du coeur. Cependant si nous somme là à parler c'est que j'ai un travail extrêmement important à vous confier...
-Je vous écoute.
-(Soupir). La vérité, c'est que je suis fatigué, je suis lassé de toute cette politique et de tout ces problémes qui me submerge 24 heures sur 24...Je pars au combat, Aris. Je pars aidé nos amis qui sont en danger, là-bas loin d'ici. Le conseil des colonies dissous, quand je serai parti personne ne restera pour gouverner... C'est pour cela que je vous demande officiellement de prendre la tête des colonies.

Aris fit de si grand yeux que le president ne pu s'empecher de rire :

-ne vous inquiétez pas, il ne vont pas vous manger ! J'enverrai un mot à tout les services et à toutes les institutions de notre nation en leur disant qu'ils voit doivent obeissance autant qu'a moi.
-Mais... monsieur le président, pourquoi ne pas nommer le vice président à la tête du gouvernement ??
-Tout simplement parcequ'il est à la botte de Faeran. Faeran est un lache et un égoïste. Si il arrive à prendre le pouvoir je craint le pire. L'isolationnisme à toujour mener au désastre à traver les âge. C'est pour cela que j'ai besoin de quelqu'un de confiance pour prendre ma place et pour préserver ce que moi et mes prédessesseurs avons mis tant de temps à batir. Je ne veut surtout pas d'une guerre civile, Aris, et c'est ce qui arrivera si jamais Faeran arrive à ses fins.
-Vous pouvez avoir toute confiance en moi monsieur le president, dit Aris.
-Ah ! Oui ! Si jamais je ne revenais pas vivant de cette affaire, ou si jamais la flotte était détruite, ou pire, si les ennemis inconnus qui attaque nos alliés nous contre attaque, alors ce sera à vous de défendre coûte que coûte notre nation. Je vous confie la lourde tâche de garder nos mondes, ce qui est loin d'être facile. De ce que vous allez faire, dépend la survie de tout notre peuple. Etes vous pret à assumer cette responsabilité en toute Honneteté ? Etes vous prêt à vous sacrifié si besoin est ?

Aprés un long moment de reflexion, Aris acquiesa :

-Oui monsieur, je suis pret. Et... je m'en sens capable.
-Bien ! Je vous remercie ! Paix à vous, mon ami.
-Gloire ! fut la réponse solennelle

Le president s'en était allé depuis 10 minutes qu'Aris était toujours là, à réfléchir à ce qui venait de se passer à l'instant, il avait encore du mal à réaliser la tâche qui l'attendait, pourtant, il savait, au fond de lui, qu'il pouvait y arriver.
Alors il décida de se mettre au travail dés maintenant, il y avait tant à faire...
Pendant ce temps à 14 Km de là , dans la base militaire d'Hégémonie, la plus grande de toute la planète, le président se trouvait sur un balcon de la tour de contrôle, devant lui se trouvaient les transporteur lourds qui était chargés d'acheminer les troupes vers les vaisseaux stationnés en orbite basse, et il serai dans l'un d'eux. Les troupes avaient été appelées en grand nombre, mais il allait falloir attendre au moins une journée entiére avant que tout ne soit prêt pour un voyage aussi long, au bout duquel les attendait surement de l'action, des larmes, voir la mort. Ainsi se préparèrent-ils à partir à la guerre, sans savoir ce qui les attendaient réellement, sans savoir si ils reviendrait en vie, ou dans un autre état, sans savoir si il ne reverrait jamais leurs maisons et leurs familles. Mais qu'importe, Personne n'avait peur, tous étaient résolu à défendre bec et ongles les interets de la république d'Argent et de ses alliés.
Un officier s'approcha du président, ses 5 galons cliquetants lui informèrent qu'il sagissait de l'amiral Jugorta, commandant de l'armée et capitaine du vaisseaux de guerre le Battle Royal, vaisseau amiral de la flotte. Sa voix parlai d'un accent anglais typique de son continent natal.
il portait une tenue militaire bleue marine, sur laquelle était fixés ses nombreuses médailles, ainsi que des épauliéres couleur argent.
Il portait sa casquette d'officier sous le bras.

-Monsieur le president, vous me surprenez en pleine séance de travail, qu'est-ce qui vous améne ?

Aprés un court silence le président se retourna :

-J'ai décidé de venir avec la flotte, j'ai déja laissé quelqu'un à ma place ici, et je vous demande donc si je peut prendre place à bord du battle royal. Je pense que ma présence devant cet ennemi inconnu et destructeur ne pourra qu'améliorer le moral de la flotte
-Hmmm, ce n'est pas impossible, de toute façon je ne peut pas refuser. Soyez le bienvenue à bord du Battle Royal, monsieur le président. Je pense qu'il suffira de vous présenter sur le transport "Landemark" qui ira accoster sur notre vaisseau, vous ne devrez pas avoir de problème pour vous loger. Cependant si nous somme dans la bataille je n'aurais pas le temps de m'occuper de vous ni forcement le temps d'assurer votre sécurité. Etes vous sûr de votre décision ?
-Je suis parfaitement conscient des danger encouru, amiral. Et ma décision à été prise, je viendrait avec la flotte.
-En ce cas... Nous partons demain matin à 9 heures précise pour notre voyage, tout sera fin prêt alors. Mais ne soyez pas en retard, car nous ne pouvons pas attendre trés longtemps, le temps presse...
-Ne vous inquiétez pas pour ca, je serai à l'heure ! fut la derniére déclaration du président, qui tourna les talons et s'en fut. Nous voilà comme au bon vieux temps, le temps des raids, chuchota le president en s'éloignant. Cela faisait longtemps.

Sortant de la tour de contrôle, il put admirer au sol ses vaisseaux, il put admirer les personnes qui travaillaient d'arrache pied pour les préparer à la guerre et à aller défendre leurs alliés, il vit la determination et le courage dans leur yeux, mais personne n'avait peur.
Pour le moment...

Chapitre IV : l'envol de l'esprit.

Revenant chez lui aprés cette courte matinée trés animé, le président pris le temps de savourer ce qui lui restait de temps, il savait qu'il n'allait peut-être ne pas revenir.
Réfléchissant aux meilleurs tactiques possibles ou envisageables contre cet ennemi inconnu, réfléchissant à la décision qu'il avait prise, -- à la vas-vite se dit-il -- il ne vit pas le temps passer et la journée s'écoula rapidement.
Des messages lui arrivait. Des rapports principalement, les troupes seraient bientôt prêtes à partir et dés demain la flotte s'ébranlerait, 800 vaisseaux sur le pied de guerre. En bref, toute l'armée offensive de la république.
Il alla se coucher tôt, le lendemain allait être mouvementé...
Le rêve revint, encore plus réel et plus terrifiant que la fois précédente, il était à nouveau seul, dans un désert. Derriére lui la chose volante lui en voulait toujour. Comme la dérnière fois, il trébucha sur une pierre, mais cependant, cette fois ci quand il se retourna, il ne vit pas que la créature, le jour s'était instantanément levé, le soleil était haut dans le ciel et des nuage d'un gris clair le survolait. Alors, il vit quelque chose, une chose qui masquait le soleil, une chose difforme.
Il n'eut pas le temps d'en savoir plus, la créature le démembrant.
Une nouvelle fois réveillé en sursaut par le même cauchemar, le même cauchemar que la nuit précédente, et aussi de la nuit d'avant, et encore celle d'avant... Cela faisait 2 semaines que ce cauchemar le hantait. Cependant avec le temps il devenait de plus en plus précis, cela ne pouvait avoir qu'un seul but... Lui dire quelque chose, mais qu'est-ce que cela pouvait bien être ? Alors il jura qu'il aurait la clé du mystére sous peu, quitte à faire des bêtises...

8h50... L'amiral Jugorta avait tout préparé, les vaisseaux était parrés à partir, ce qu'ils allaient faire d'une minute à l'autre. Il attendait le président devant la porte du Landemark, le vaisseaux de transport du Battle royal.

-Alors ?? quand ce décidera-t-il à arrivé, c'est que nous n'avons pas tout le temps du monde !

le garde à qui il avait lancé ca ne fit pas un geste et nu pas la moindre réaction, comme tout les gardes d'ailleurs, ils étaient entrainés pour ca aprés tout...
Soudain, le plot de téléportation, placé dans le batiment le plus proche, s'activa pour laisser apparaitre le président.
L'amiral fut soulagé de ne pas avoir à faire attendre la flotte plus longtemps.

-Bonjour Monsieur le président, c'est un honneur de vous emmener avec nous, si vous voulez bien entrer, nous allons partir.

L'amiral se retourna et lanca au pilote :

-C'est bon ! Nous pouvons y aller !
-A vos ordre ! fut la sempiternelle réponse habituelle.

Décidemment, il est à croire que les soldat n'ont aucune imagination... Cette pensé le mit de bonne humeur. L'imagination au cours d'un combat, peut mener au désastre si il vient contredire les ordres de l'officier supérieur...

Les moteur du vaisseaux de transport se mirent en position verticale, mettant pleine vitesse, la navette décolla à la verticale et s'envola dans le ciel. Le pilote pris son interphone :

-Attention ! Activation des fusées de mise sur orbite dans 4...3...2...1...

Les fusées de poussé situé sous le corps de l'avion, se mirent brutalement en route, créant une accélération de 5G. Le président fut heureux de ressentir cela une nouvelle fois.
Aprés la poussé violente vint le calme et... le manque de pesanteur, ils étaient en orbite. C'est alors qu'il pouvait observer la plus belle vue que même un astronaute veteran pouvait voir, celle de sa propre planète. Laérale était en grande partie recouverte d'eau et son climat frais lui donné un aspect...pâle. En admirant la vue, le président se promis de revenir à cet endroit, pour à nouveau contempler sa planète.
Regardant aux ublos, les passagers virent défilé la flotte devant leurs yeux, des chasseurs , des croiseurs, des Vaisseaux de battaille, et surtout le fer de lance de l'armée de la république, les 50 destructeurs arborants fiérement l'insigne de Laérale, un dragon couleur argent sur fond vert foncé. Le transport se dirigeait vers un destructeur de classe Galactica, l'un des 7 seul destructeurs de cette classe, le Battle royal, vaisseau amiral de la flotte, tronai dans leur champ de vision, immense. Ses deux nefs pouvait porter jusqu'a 200 Aèronefs, pas des chasseurs, mais des vaisseaux encore plus petit et piloté par des machines.
Mon RP : le prix des rêves. Bsggalactica1024ws8

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-Ici le Landemark au Battle Royal. Demande permission d'atterir sur la piste bâbord.

une voix à la radio lui répondit :

-autorisation acceptée Landemark, vous êtes en priorité absolue sur le quai d'amarrage 1, nous somme heureux d'acceuillir le président à notre bord !
-merci Station de contrôle. Terminé.

Le president demanda à l'amiral Jugorta si il avait bien pris en considération sa requête de transferer son chasseur lourd personnel, le Condor, à bord du Battle Royal. L'amiral lui répondit par un signe de tête affirmatif.
Puis enfin la navette se posa. 8h58, l'heure de partir...
Une fois dans sa salle de contrôle, l'amiral lanca son ordre sur toutes les fréquences :

-A toute la flotte, ici l'amiral, préparez vous au bond hyperspacial. Coordonnées 7 (l'officier de naviguation répéta tout les chiffres qu'il donna pour être sur d'aucune erreur ), 573, 7.

L'officier de naviguation pris la parole dans l'intercom au bout d'une poignée de minutes :

-Bon hyperspatial dans 10...9...8...7...6...5...4...3...2...1... Maintenant !

L'espace se compressa, les distance parurent rétrécir, le temps semblit ralentir. La flotte passa en vitesse lumiére. En route pour la guerre...

Chapitre V : Voyage de l'esprit :

Cela faisait 5 jours que la flotte était partie de Laérale, lors du sixième jour la flotte fit une halte en orbite autour de Evaine. Mais pas le temps de s'arrêter, car on avait besoin d'eux ailleur. Rejoint par la force d'Evaine, la flotte repris son chemin vers la planète Darkness, là d'où leur été parvenu le message de détresse il y avait de cela 1 semaine galactique.
D'aprés les derniers relevés energétique envoyés par Evaine, la zone parraissait calme, aucun mouvement n'y avait été répertorié, c'était comme si... tout était mort.
Le président, regardant les trainées ioniques laissé par les autres vaisseaux au traver du hublo, pensa aux rapports d'espionnage envoyer par les sondes. D'aprés ces derniers, il n'y avait plus aucune activité sur zone. Cependan au fond de lui, il sentai que quelque chose était bien là, il n'avait qu'une vague idée de ce que cela pourrait-être, et de ses intention, mais il le sentai au plus profond de lui même... Quelque chose s'approchait...
La voix de l'officier de quart dans l'interphone, annoncant une rotation d'équipe dans la salle des machines, interrompi le flot de ses pensées. Mais l'invitérent à se poser d'autres questions : Que vont devenir ces gens ? Vont-ils survivrent ? pensait-il. Il ne le savait pas, la surprise serait totale.
L'amiral, refusant de l'écouter parceque selon lui il n'avait pas le "sens tactique", avait préféré utiliser une manoeuvre des plus classique : sauter d'hyperespace dans la face caché de la planète, cette manoeuvre visant à surprendre un potentiel ennemi, mais le président lui pensait que dans cette ombre se cachait leur ennemi, malgrés les sondages négatifs, ils s'en doutai. Il sentait trés mal la stratégie de l'amiral Jugorta. Mais il ne pouvait pas lui donner l'ordre de changer de tactique étant donné qu'il venait de légué ses pouvoirs à Aris...
En tout cas, il serait bientôt fixé, car dans 12 heures la flotte arriverai à destination, prête à en découdre avec n'importe qui. L'amiral disait que l'ennemi serai surpris et qu'ils auraient un avantage certain contre eux, mais si l'ennemi savait... voilà une pensée qui le fit frissoner, la quantité d'energie dépensée pour la sortie d'hyperespace désactiverai momentanément les armes, les boucliers et les capteurs du vaisseaux, le rendant ainsi complétement vulnérable.
Pris d'une soudaine inspiration, le président alla voir le "chef" : La personne ayant pour charge la maintenance des vaisseaux et de leurs horaires d'envol, le chef de pont en somme. Et lui demanda de faire préparer le Condor pour un décolage dans 12 heures, ce que le chef accepta avec courtoisie.
Le Condor serait peut-être sa chance, et le président espérai qu'il n'en aurai pas besoin.
Ensuite, il partit voir l'officier chargé des armes à bord, et le convainquit, quelque peu difficilement, de lui remettre un des nouveaux modéles de BFG 10.000, une arme monstrueusement destructrice, et surtout de lui remettre en toute discrétion une mine à charge neutronique. Cela lui serai peut-être utile... Il demanda au chef de bien vouloir monter la mine sur le largeur du chasseur lourd, ce qu'il fit, cette fois avec moins d'enthousiasme.
Il demanda aussi au chef de rajouter 3 cartouche d'oxygéne supplémentaire. Cela n'allait peut-être pas servir, mais il valait mieux prévoir, car plus la flotte s'approchait de la planète, plus son malaise grandissait, ce qu'il pris comme précaution le fit se sentir déja mieux.
Advienne que pourra... Tout était fin prêt.

Chapitre VI : Ombres et Morts :

Tout le monde était prêt, la flotte allais sortir de l'hyperespace d'un instant à l'autre, tout le monde était aux postes de combats, la tension était grande.

-Sortie de l'hyperespace de toute la flotte dans 30 secondes. Annonca l'officier en second.

L'amiral se tenait debout devant l'hôtel où se trouvait l'écran tactique, un hologramme qui representai les divers vaisseaux en 3 dimmensions et qui aidai au repérage et aux commandement, serein, il était prêt.

-Sortie d'hyperespace !

Une impression d'étirement de l'espace découla de l'arrêt des propulseurs hyperspatiaux. Voilà, on y était, le moment le plus critique... Pendant environ 2 minutes les vaisseaux seront sans armes, sans boucliers et sans capteurs...
aprés 1 minute :

-Ici l'amiral à toute la flotte, préparez vous a...

L'amiral fut brutalement interrompu par une communication radio provenant d'un autre vaisseau :

-"Ici l'endeavor, quelque chose vient d'exploser sur la coque, nous ne savons pas ce qui ce.... crrroouuuuuuiiiiiiiiccccccccc !!!"
-"warstar à battle royal, nous avons quelquechose qui défonce la coque, il a brisé le pont d'amarrage il..."

dans la communication s'entendit un horrible bruit de métal tordu et de hurlements. D'autres messages arrivaient de plusieurs vaisseaux indiquant des dommages monstres.

-"Chasseur léger 78 à battle royal ! On nous attendait !! une flotte entiére est en train de canardé les premiéres lignes !! Des choses attaques les vaisseaux lourds !! Il rentre à l'interieur !! Nous avons déja perdu une vingtaine de vaisseaux, il...
des gros vaisseaux envoient des sortes de chasseurs sur nous, ils sont trop nombreux nous ne pouvons... crooouuuuiiiikkkk"

-Amiral les systémes sont pleinement opérationnels, quels sont les ordres ?
-A toute la flotte, nous sommes attaqué ! Défendez vous !

L'hologramme tactique s'activa, révélant la flotte et... des milliers de vaisseaux non identifiable par les scanners. L'amiral donna l'ordre aux chasseurs de visé les "Parasites" ennemi et de les empêcher de rentrer à l'intérieur des vaisseaux par tout les moyens.

-Ordres aux destructeurs d'attaquer et de détruire les vaisseaux lanceur de chasseur ! Lancer nos Chasseurs ! Naviguation ! En avant toutes, dirigez nous vers l'ennemi, à vous les commandes, si vous devez faire quelque chose pour éviter un obstacle faites le ! Activez les batteries ! Ouvrez les trappes à missiles préparez vous à une frappe d'artillerie ! Déclenchez un tir de protection autour du vaisseaux !

La bataille faisait rage dans l'orbite de la face caché de la planète, le noir n'était que troublé par le soleil levant qui diffusait une lumiére jaune, les étoiles formait une nébuleuse jaunâtre que l'on voyait autour de la planète.
Les vaisseaux inconnu étaient rentré à l'interieur des rangs de l'armée de la république comme dans du beurre, les nombreux chasseurs ennemis, poursuivit par les croiseurs, s'attaquaient aux moteurs des vaisseaux et les empêchaient ainsi de se déplacer, mettant ainsi la pagaille dans le plan de déploiement de la flotte.
Les vaisseaux de batailles luttaient contre des vaisseaux de taille moyenne, semblable à des croiseurs lourds, avec tout leur armement : Canons à ions , canons lasers, missiles, toutes les armes étaient déchainées, les boucliers étincelaient d'une couleur azur en absorbant les tirs ennemis, principalement des missiles et des sortes de boules vertes gigantesque. Les vaisseaux surpris par l'attaque en premiére ligne avaient été détruits pour la plupart et déja un quart de la flotte avait été réduit en charpie en quelques secondes, les croiseurs et les chasseurs avaient souffert de la surprise.
Les chasseurs légers, débordés par les nombreux petit vaissseaux ennemi, ne parvenaient pas à atteindre leur objectifs correctement, scellant ainsi le sort de milliers d'hommes d'équipage lorseque les parasites ennemis découpérent leur coque interne. Les Aéronefs lancé par les vaisseaux de bataille et par les destructeurs tombaient comme des mouches, détruit par des sortes de sphéres sur lesquels était monté des lasers trés légers et trés précis.
Les destructeurs, protégés par leur puissants tirs de barrages, qu'ils faisaient tout autour d'eux, et par leur puissant boucliers, approchérent des vaisseaux lanceur de chasseur ennemi et les engagérent grâce à leur missiles balistiques :

- Chargez les ogives à fragmentation ! Tiré à l'endroit d'où sortent leur fichus chasseurs ! Monsieur le président ce n'est pas un endroit sûr ici ! Préparez vous à foutre le camp !
- Et la flotte ? Et les hommes ?
- Ils sont déja morts ! Fouttez le camp allez dire à quoi nous avons à faire ! Ce n'est pas une conversation de histrion ! Bougez vous le train ! Hurla l'amiral en poussant le président dans le couloir
- Missiles prêt à être largué, amiral, les autres vaisseaux indiquent le même rapport.
- Feu !

Les 6 batteries de missiles avant de chaque vaisseaux envoyèrent la mort sur l'ennemi. Les vaisseaux inconnus tombérent devant la puissance déchainé par les 50 destructeurs. Les missiles avaient atteints les hangars des vaisseaux ennemis, les détruisant rapidement, les missiles à fragmentation explosèrent à l'interieur des vaisseaux ennemis.
Derriére les destructeurs, la flotte républiquaine était en difficulté, submergée de toute parts, celle-ci n'allait plus tenir trés longtemps. La lutte était post apocalyptique, tellement les puissance déchainées à cet instant étaient énorme: les tirs fusaient de toutes part, créant ainsi à kaléidoscope de couleur et d'explosion lumineuses, les croiseurs républiquains, grâce à leur artillerie à ions trés puissante et trés précise, firent un massacre parmis les chasseurs ennemis, mais ces derniers étaient bien trop nombreux... Les vaisseaux de bataille républiquain tombaient les uns aprés les autres, des débris s'amassèrent dans la zone, créant une zone meurtrière pour les chasseurs.

Le président couru comme jamais auparavant, il se dirigea dans les couloirs du vaisseau. Chose surprenante, aucune panique n'avait pris place dans le coeur des hommes d'équipages qui vaquaient chacun à leur tâches.
Une violente explosion suivit d'une forte secousse fit tombé devant lui le plafond du couloir, bloquant ainsi le passage. Un homme d'équipage passa à coté de lui en courant à coté de lui :

- Vous ! Par où doit-on passer pour allez à la baie bâbord ?!?
- Je euh... par le couloir.
- Le couloir est bloqué !
L'homme se retourna et vit les dégats dans le couloir.
- Y a t-il un autre passage ? repris le président.
- Je... Oui il y en a un ! Prenez par là d'où je vient, à un moment vous croiserez le couloir 17, suivez le en tournant à gauche et c'est tout droit ! C'est écrit sur le mur de toute façon !
- D'accord merci !

Et le président se remis à courir...
Les vaisseaux ennemis, surnombreux, pércérent à la longue assez facilement les boucliers de tirs des destructeurs, qui, n'étants plus protégés par les vaisseaux légers et les croiseurs, devenaient vulnérables aux parasites et aux missiles ainsi qu'aux chasseurs ennemis qui pouvaient se faufiler entre les tirs défensif.
Le battle royale fut secouer par de violente secousses lorseque des missiles percérent le bouclier surchargé, bientôt il cederai, le blindage du vaisseaux étant trés épai, les dégats n'étaient que mineurs, mais il n'allaient pas l'être très longtemps.
Dans la salle de commande :

- Ils tirent des charges nucléaires ! 4 missiles en approche sur tribord !!
- Préparez vous à l'impact ! cria l'amiral.

Plusieurs secousses firent perdre l'équilibre au président, le blindage sera vite percé... Les sirènes retentissaient, certaines zones étaient en feu, nottamment le pont tribord fortement exposé au feu ennemi, par chance le chasseur du président se trouvait sur le pont d'envol babord. Les impacts sur la coque d'une violence inouïe, avaient détruits des conduits de carburant ou d'autres liquides, des feux s'étaient déclarés à plusieurs endroit à tribord, malgrés l'épaisseurs du blindage, qui était de 26 métres, la coque avait été percée à certains endroit et la décompression avait fait des victimes. Le vaisseaux ne tiendrait plus trés longtemps...

- Y a d'assez gros dégats sur l'échangeur de chaleur de la castillage ! Il y a aussi une fuite sur le conduit de carburant principal sur tribord ! Moteurs tribords désactivés !

Aprés une poigné de secondes de réfléxion l'amiral donna son dernier ordre :

- Donnez l'ordre d'évacuation !! Mettez les systèmes de défenses sur automatique et partez d'ici ! Dites au reste de la flotte de fuir !

Dans le vacarme des sirènes et des grondement des explosions sur la coque du vaisseau, le président entendit l'ordre d'évacuation donné par l'amiral. C'était la défaite quasi expéditive !
Sautant dans le Condor, le président ce maudit intérieurement de n'avoir pas pu empêcher un tel désastre. Il n'attendit pas l'autorisation de décollé car de toute façon la personne chargé de cela avaient fuit vers la partie arriére du vaisseaux où se trouvaient les nacelles de survie.
Une violente explosion déchira à nouveau le vaisseaux, le moteur avant droit venait de partir en fumée dans une terrible lumiére. Si les tirs ennemi attaignaient le réacteur à fusion, c'en serai fini du vaisseau.
Se dépechant d'activer les systémes du condor, le président vit au bout de la jetée avant un énorme vaisseau ressemblant à une enorme araignée découper la coque du vaisseau sans que personne ne puisse rien faire, il était temps d'abandonner le navire...
Une forte décompression fit explosé la partie babord avant du vaisseau, qui ne put résisté au relachement de pression lorseque la chose arracha un énorme morceau de coque. Le président décolla par la jetée bâbord arriére, mit plein gaz en éspérant passé inapercut dans la confusion générale.
Une fois sur sa lancée, il désactiva les moteurs du vaisseaux et se laissa flotter en ligne droite, esperant passé pour un simple débri, il désactiva les sytémes du condor.
ce qu'il vit par le hublo de son vaisseaux le fit frissoné, les destructeurs étaient littéralement taillé en piéce, seul réconfort, ils emportaient avec eux de nombreux ennemis.
Le président put voir le Battle royal de ses propres yeux, cette fois, une bonne partie de sa coque avait été percée et l'oxygéne s'en échapé dans des trainées de fumé grises ou dans des feux gigantesques, le moteur avant droit avait disparu, le vaisseaux donnait de la gîte sur l'avant, la baie de lancement tribord étai en miette, la plupart des armes fonctionnaient encore, et les lances missiles continuaient de faire pleuvoir la mort sur l'ennemi, mais le combat été perdu d'avance, les systémes du vaisseaux été endommagé, gravement...
Le président pu aussi voir les vaisseaux ennemis pour la premiére fois, ce qu'il vit le laissa abasourdi... ces vaisseaux... avaient une architecture complétement démentielle, sortie de la tête de quelques fous, ou pire, ils n'étaient pas humains !
Mon RP : le prix des rêves. Aff2phpws7

Et lui qui se disait que l'araignée défonceuse de coque n'était qu'une exception !
Un nombre incalculable de questions sur ses ennemis et sur l'avenir assèyirent le président, cependant il n'eut pas le temps d'y répondre ou même d'y mettre fin, car soudain, sorti de nulle part, un rayon d'un vert incandescant frappa le Battle royal sur tribord arriére, le rayon détruisit le dernier moteur tribord et le vaisseaux, pércuté de plein fouet, fut envoyé par l'espace en quelques secondes. Le vaisseau avaient été litterralement découpé en 2... un tiers du vaisseaux, l'arriére babord exactement, partit à l'opposé de la direction du vaisseau.
C'en été fini, le Battle Royal était complétement détruit et ses congénéres allaient l'être dans peu de temps...
Ce fut la dérniére chose que le président vit avant que son vaisseau ne heurte un débris et qu'il perde connaissance...

Chapitre VII : Fuite :

L'aveuglante lumiére d'un soleil le tira de sa torpeur. Il ne compris pas tout de suite où il était, puis il se rappela... la mort, la destruction de toute une flotte...
Combien de temps était-il rester dans le coma ?? Il ne le sut qu'en regardant sa montre... 4heure du matin, heure de la planète mère. Alors il était resté ainsi à dérivé pendant 10 heures !
Esperant qu'il n'était pas parti trop loin dans le vide sidéral, le président réactiva son vaisseaux et activa sa console de navigation.

- "Scanner en cours..." lui dit la voie féminine de l'ordinateur de bord.
- Allé dépeche toi ! Dit moi qu'on est pas perdu !!
- "Scanner terminé, secteur reconnu, 7:573:7. Destination ?"
- Je n'ai même pas bougé ! Ouf et bien ca me rassure... Destination ? Voyons voir où on peut aller... Réserve de carburant ??
- "Réserve de carburant : 73 unités"
- Hmmm avec ca nous n'irons jamais jusqu'a Evaine...

Utilisant la carte Holographique, il fit défilé les planètes connues du secteur, et s'arrêta devant une planète allié, plus prés de lui qu'Evaine. Rush valley...
Il n'était jamais allé sur cette planète mais cependant il connaissait bien son dirigeant car ils étaient de trés vieux amis.
Il metta le cap sur Rush valley, esperant qu'il n'y aurait pas de mauvaise surprise en route...
1 heure aprés il passa au traver d'un champ d'astéroide, la naviguation y était relativement aisé, cependant il se sentai mal à l'aise. Tout pouvait surgir de derriére les astéroides...
Justement... Un éclat lumineux l'interpela... Un éclat ? ou plutôt un reflet !
Sa console de détection sonna et lui montra trois vaisseaux alien en approche sur sa droite.

-Il ne manquai plus que ca !!!!

Tournant à gauche et mettant plein gaz, zigzaguant entre des astéroïdes de la taille de maisons, Il tenta de semer ses poursuivants. Cependant ceux-ci ce rapprochaient inéxorablement et le Condor essuya des tirs. Les chasseurs aliens étaient plus rapide cependant leur tirs atteignaient rarement leur cible, pour le moment...
Le président s'approcha d'un énorme astéroide criblé de passages et de grottes et décida de s'y aventuré, la manoeuvre était audacieuse. Le condor n'était pas un vaisseau conçu pour ce genre de chose ! Foncant dans les passages sombres et étroits de l'astéroide, il se fit plusieurs fois trés peur en manquant se pulvérisé sur la paroi rocheuse. Les chasseurs le poursuivaient encore, tirant sur lui, leurs tirs touchèrent la paroi du passage, éclaboussant le condor d'éclats de roche coupante comme du rasoir. Fort heureusement il ne firent pas de dégats...
aprés 5 minutes de poursuite, aprés être sorti de l'astéroide, sentant qu'il n'arriverait pas à les semer, le président tenta le tout pour le tout et décida de les affronter de face. Fesant une rotation sur 180°, il les arrosa avec les mitrailleuses du vaisseau.
La rafale atteignit le chasseur central et l'expedia ad patres dans une explosion verte. Restai deux chasseurs, mettant plein gaz de façon à passer entre eux, le président décida d'utiliser la mine neutronique qu'il avait en stock.
Lorsqu'il senti qu'il était à la bonne distance, il largua la mine et continua son chemin, tentant d'éviter les tirs ennemis, certains le percutérent mais le bouclier du vaisseau absorba les impacts des "boules vertes" ennemies.
Le condor passa entre les deux chasseurs, ceux-ci commencérent à se retourner, mais il passèrent à coté de la mine qui explosa juste à coté d'eux. Une explosion bleue liminescente déchira l'espace dans le silence irréel dû au vide. Les chasseurs ennemis, toucher de plein fouet par l'explosion neutronique, furent proprement désintégrés. Mise à part la poursuite, le combat n'avait durer que quelques secondes.

-Ouf ! J'éspère qu'il n'ont pas envoyer de message de détresse ! Bon, il est temps de décamper d'ici... Direction Rush Valley !

Il ne savait pas qu'un des éclat de roche avait percé la coque et troué l'un des deux conduit de carburant des moteurs de croisière...

Pendant ce temps sur Laérale, Aris tournait en rond dans son bureau au palais présidentiel, trés inquiet car ils n'avaient reçu aucune nouvelle de la flotte, alors qu'ils auraient dû les contacter dés leur arrivée. Si quelque chose avait mal tourné, il fallait prendre les devant, se dit-il. Appuyant sur le bouton de l'interphone pour parler à son vassal, il demanda de faire venir dans son bureau le chef de l'état major de l'armée ainsi que les plus éminents expert militaires qui soit, même si il fallait les réveillé dans leur maison de campagne. La défense devait-être prête au cas où l'armée ennemie inconnu ai décidé de se venger. Il allait falloir faire vite... car si la flotte ennemie avait vaincu la flotte de la république sans qu'elle n'est le temps d'envoyer un message, c'est qu'elle devait être plus grosse, beaucoup plus grosse. Les jours avenirs promettaient d'être chargé...

Chapitre VIII : Dénouement incertain :

-Alors... Que me dit ce relevé radar, hmmm il semblerai que je doive contourner la planète avant de pouvoir partiu en direction de rush valley. Mais je n'ai pas assez de carburant pour faire la manoeuvre...

Aprés quelques instant de reflexion décida qu'il allai falloir utiliser la force de gravité de la planète pour pouvoir se catapulter de son autre coté.

-"mise en orbite effectuée."
-"moteur à combustion activé."
-"systéme automatique de naviguation activée"
-"Systéme anti G activé"
-"démarrage moteurs de croisière"
-"Catapultage dans 30 secondes..."
-"...20 secondes...Injection carburant."

Cette derniére action, à cause du trou dans le conduit de carburant, fit se répandre dans l'espace à proximité du vaisseau des cristaux gelé de deutérium.
Le vaisseaux fit une petite manoeuvre pour se mettre dans l'axe requis pour pouvoir amorcer la descente dans la haute atmosphére, ce qui placa les cristaux derrière le Condor...

-"15 secondes"
-Ascenceur expres, direction l'enfer sans escales !
-"5...4...3...2...1...allumage."

Une explosion monumentale ébranla le vaisseau et l'envoya bouler comme un fétu de paille. Les cristaux de deutérium venaient d'exploser.

-"Danger, systèmes critiques." "Moteur de croisiére hors services". "système de naviguation hors service". " dégats détecté dans la soute". "brêche dans le réservoir de carburant"."système anti-G hors service".
-C'était quoi ca ?! Cria-t-il en tentant de faire fonctionné les moteurs, sans y parvenir. J'éspére que... ooh non !! La trajectoire !!

Il activa la commande d'ouverture des panneaux de protections des hublos.
Il ne vit que l'espace...
Il jeta un coup d'oeil sur la console de l'ordinateur et regarda sa trajectoire. Elle le faisait s'écrasé directement sur la planète, l'explosion avait poussé le vaisseaux vers la planète
Reregardant par le hublo, il vit qu'il tournais sur lui même...
Il tenta de faire fonctionner le système de naviguation du vaisseau...sans résultats.
Il ne restait qu'une solution : le pilotage manuel !

-D'accord... Dit moi que j'ai assez de jus pour sortir de l'orbite !
-Non c'est pas ca, c'est pas ca non plus... aaah ! Te voilà ! Vas-y fait moi un check...
-"RRRRRRRRRRRR, carburant insuffisant, impossible de sortir de l'atmosphére."
-Et meeeerde, bon bah y a plus qu'a se posé... Se posé sur une planète assiégé et peut être occupée par des aliens ! Voilà qui est rassurant !
Maintenant que je n'ai pas de carburant je ne peut faire fonctionner que les moteurs d'appoints, donc je ne pourrai pas me diriger dans l'atmoshpére...
Aller, tu peut y arriver !

Empoignant le manche de naviguation, il entrepri la difficile tâche d'un atterissage d'urgence... Il fit fonctionner les réacteurs d'appoint pour se mettre dans un axe correct.
Au début de la rentrée dans l'atmosphére le vaisseaux se mit à trembler un peu, puis plus la vitesse augmentais, plus le vacarme et le tremblement du vaisseaux s'intensifiaient, le president commenca à ressentir le poids des G.
Se fut une descente longue de 3 minutes, au bout de ce temps là le president pu voir le sol de la planète quand il passa sous les nuages. Il allait atterrir dans un desert.
Aprés quelques secondes qui lui parurent beaucoup plus longues que des secondes, le Condor heurta le sol rocquailleu du désert sur un terrai plat entre 2 "collines". Aprés 1km sur le ventre le vaisseau s'immobilisa enfin.
Le president s'extirpa du vaisseau non sans avoir vérifié l'atmosphére de la planète et sans avoir pris son arme et ses munitions avec lui, ansi que des provision en eau et nourriture, il mit tout ca dans un sac sur son dos.

-Et je vais où moi maintenant ? Me voilà paumé en plein millieu d'un desert, en plein sur une planète que je ne connais pas et envahie par des aliens ! Bon, je vais partir vers le soleil couchant au hasard, au moins j'aurai un truc à suivre.

Pendant ce temps sur Evaine, un citoyen vaquais à ses occupations habituelles, comme d'habitude il passait sur une passerrelle depuis laquelle on pouvait voir tout le sud de la capitale, resplendissante sous l'éternel couché de soleil que procuré la rotation de cette planète, qui présentait son pôle sud au soleil. Le pôle nord étant plongé dans le noir complet, jamais le soleil ne s'était levé au dela de l'hémisphére nord. Evaine était une planète intégralement recouverte d'eau, les villes étaient composées d'immenses tours d'architectures futuristes, reliées par des passerelles finement ouvragé et qui scintillaient au soleil.
Mon RP : le prix des rêves. Normaltempplanet01el5

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Si il tournait la tête, le citoyen pouvait apercevoir un lanceur de plasma sur une plate forme en contrebas. Les plates formes devaient se soulever lors d'une attaque pour permettre à l'arme d'avoir un angle de tir correct.
Or il s'avéra qu'a ce moment précis, au moment où le citoyen tournais la tête pour regarder la plate forme, celle se mit à monter...

Le president marchais depuis 30 minutes, il se rendit trés vite compte qu'il avait marché non pas vers le soleil couchant, mais vers le soleil levant, et qu'il se levait trés vite... déja il faisait presque plein jour, comme vers les alentours de 10heures du matin sur Laérale. Il se remit à penser à la douce senteur du parfum des fleurs humides qu'il pouvait sentir sur son balcon le matin lorseque le jardinier arrosait les fleurs. Il revassait, jusqu'au moment ou un bruit sourd le fit sortir de ses pensées. Il regarda derriére lui, rien. Lorsequ'il tourna à nouveau la tête pour regarder autour de lui, il surpris un mouvement du coin de l'oeil, et il entendit à nouveau le bruit sourd, comme celui de grandes ailes.
Alors il vit... Son cauchemar ! La créature était presque comme dans son rêve ! Il fuit à toutes jambes, mais des bruits d'ailes le firent se mettre à plat ventre, la créature passa au dessus de lui. Il se retourna sur le dos, et il vit la deuxiéme chose qu'il avait vu dans son rêve, une sorte de vaisseaux, ressemblant étrangement à une pôinte de lance. Et il vit le vaisseau et question, absorbé par la contemplation de cette chose, qui masquait le soleil levant et qui faisait voltigé une quantité immense de poussiére, il ne vit pas que la bête ailée s'appretait à faire un second passage pour le tuer. Mais cette fois ce n'était pas un rêve.
Il empoigna son BFG, visa avec soin sans perdre son calme, et tira, la balle d'énergie verte s'écrasa sur la créature, envoyant ses entrailles partout à la ronde.
Il leva les yeux... et vit des centaines de ces créatures sortir du vaisseau, qui se rapprochait de lui par sa gauche.
Mon RP : le prix des rêves. Affphpyj3

Priant pour la premiére fois de sa vie, il vit la mort fondre sur lui.

Un BANG assourdissant se fit entendre, et un gigantesque écran bleu se matérialisa tout autour de la cité, les sirènes se mirent à hurler. Levant les yeux vers le ciel, il cru apercevoir des flash... Des explosions. La panique s'empara des habitants, pourtant habitués au exercices. Ils se précipitérent dans les abris sous marin. Une ombre masqua le soleil et plongea la capitale dans la pénombre.

Chapitre IX : Rien ne pourrait être pire :

Paralisé par la peur, le président des 9 colonies était hypnotisé par la dance de mort aérienne, ils s'approchaient.
Inutile de courir, les jeux étaient fait, jurant de ne pas mourir sans se battre, il recharga son arme, tira, recharga encore et retira, il réussi à occire une dizaine de créature tout au plus, mais celles-ci étaient si rapide qu'il n'arrivait pas à bien visé. Soudain, il crut être aveuglé par le soleil, une lumiére puissante lui brula les yeux, une onde de choc et un bruit assourdissant l'envoyérent en l'air, il alla s'écraser sur le sommet d'une petite dune, puis perdit connaissance.

Dans la plus haute salle de la plus haute tour de la ville d'Evaine, le chaos reignait, les officiers couraient en tout sens, affolés par cette attaque surprise.
Chacun rejoignit finalement son poste. Le commandant de la garde de la ville, aussi gouverneur militaire d'Evaine, Faeran Tlibar penetra dans la piéce, encore à moitié en vêtements de nuit :

-Que ce passe-t-il ?!
-Une flotte inconnue d'envergure importante est sortit de l'hyperespace au dessus de nos position et à commencer à ouvrir le feu sur nous, nous avons perdu tout contact avec les défenses orbitales ainsi qu'avec nos installations spatiales. Nous attendons vos ordres gouverneur. répondit un officier.

Faeran resta de marbre une minute le temps de réfléchir, la situation l'ayant pris au dépourvu, de plus, jamais il n'avait été soumis à telle situation. puis finallement il donna ses ordres :

-Préparez tout les hommes, soyez pret à faire décoller les chasseurs au sol, il faut sécurisé les abris sous-marin, préparez vous à faire feu avec les défenses. Et...

Brutalement interrompu par un flash lumineux, il regarda ensuite par la fenêtre, ce qu'il vit le laissa sans voix, au loin dans le ciel, des vaisseaux étaient aux prises avec les défenses terrestres !
Les syrénes continuaient de hurler, les bruits générés par les tirs de lasers, missiles, plasma ou ions résonaient dans l'air. Les tirs touchaient les vaisseaux ennemis, en envoyant beaucoup ad patres, mais la masse grouillante qui s'avancait n'allait pas pouvoir être contenue bien longtemps. Déja, les vaisseaux ennemis ripostaient contre les défenses, celle-ci, protegées par leurs boucliers, tenirent bon, continuant de faire pleuvoir la mort sur l'ennemi.
Des tirs d'une couleur verte électrique allérent s'écraser sur le bouclier de la ville, créant une onde de choc bleue ciel.
Sortant d'au dessus de la ville, des vaisseaux lourds firent feu sur le bouclier, qui tint bon. Une artillerie à ions, soutenue par une artillerie laser, réussit à toucher les moteurs d'un de ses vaisseaux, qui, privé de propulsion, alla s'écraser dans l'ocean, créant une colonne d'eau et de feu d'une centaine de métre de hauteur.

-Bouclier à 85% de sa puissance nominale messieur, à cette vitesse il ne va pas tenir trés longtemps, affirma un autre officier. Le réseaux de défenses à été détruit à 50% !
-Déja !? s'exclama Faeran

Soudain, une idée lui traversa l'esprit, ne venait-il pas la veille de féllicité chaudement un jeune chercheur, qui avait mis au point un nouveau modéle de batterie, bien plus efficace que les classiques ? Le socle pour placer cette batterie n'avait pas été démonter, si ca se trouve cela sera facile à monter sur le générateur de bouclier !

-Combien de temps le bouclier tiendra t-il ??
-Eh bien je dirait au maximum 20 minutes, gouverneur.
-Joignez immédiatement la base de recherche d'éliontis ! Faite demandé de toute urgence un certain Gary McKey, et dite lui qu'il va avoir l'occasion de tester sa découverte ! Qu'il aille immédiatement à la salle du bouclier ! Dites lui de faire aussi vite que possible ! Notre vie en dépend !

Dans l'un des souterrain du complexe de recherche d'éliontis, un téléphone sonna, un chercheur décrocha :

-Allo ?
-Complexe éliontis ?
-Oui ! Que se passe t-il dehors ?!
-Pas le temps d'expliquer, aller immédiatement chercher Gary McKey et dite lui qu'il doit aller tester sa découverte dans la salle du bouclier ! Faite trés vite ! Ordre du gouverneur !
-J'y vais !

Courant à travers les couloirs, secoué pas des explosion en surface, le chercheur se dirigea vert là où pouvait se trouver McKey, il y parvint :

-Mckey ! Ordre du gouverneur, vous devez immédiatement vous rendre en salle du bouclier avec votre découverte !
-Hein ? Mais... Bon j'y vais !

Courant chercher son matériel et sa "découverte" qu'il avait appelé Générateur entropique, il partit comme une flêche vers l'ascenceur, sortit à la surface, il fut ébahi par le spectacle terrifiant mais magnifique qui s'offrait à lui, des tirs de toutes couleurs frapper des vaisseaux au dessus de la ville ! ceux-ci tiraient abondament sur le bouclier de la ville, qui commencait déja à faiblir sur son sommet !
Il pris sa voiture et fonca comme jamais, tout excité à l'idée de sauvé la ville.
La salle du bouclier se trouvait en dessous de la tour centrale de la ville, nommé la flêche d'argent, elle se trouvait sous l'eau, à 90 métres de profondeur. Emprutant l'ascenceur, il atteignit la salle du bouclier, il lui avait fallu 10 minutes pour y arriver. La salle du bouclier étaient immense, au centre tronait un immense pilier de lumiére bleue qui allai du sol au plafond, vers une sorte d'immense "chapeau", qui était en fait le générateur de champ, le pilier bleu n'étant rien d'autre que l'énergie traité e qu'utilisait le bouclier pour fonctionner. Des dizaines de personnes, -il reconnu certains chercheurs ou techniciens haut placé-, étaient en train de monter le socle de sa batterie sur l'alimentation du bouclier, au niveau inférieur, le jeune chercheur les rejoignit, aidant à monter le socle.

Pendant ce temps dans la salle de controle, les indicateurs s'affolaient, le réseau de défenses avait été détruit à 80%, et le bouclier perdait de sa puissance, il ne tiendrait plus qu'une poignée de minutes. Tout leurs espoirs résidaient dans le fait que le bouclier puisse tenir.
Le gouverneur Faeran, angoissé, ne cessait de taper sur l'accoudoir de son fauteuil, il prit l'intercom et joigna l'équipe dans la salle du bouclier :

-Alors ca avance ?! Qu'est-ce que vous foutez ? Ca traine !! Dépéchez vous !! Quelque fois que vous ne l'auriez pas remarqué, l'ennemi nous a mis une sacrée décullotée ! Et je vous jure que si vous n'arrivez pas à réparé ce truc, avant de mourrir je descendrait tous vous arracher la peau des fesses !!!

La menace n'accelera pas pour autant le travail.
Au bout de quelques secondes, le socle fut enfin relié au système d'alimentation du bouclier Le moment de vérité arrivit, le jeune McKey placa sa batterie entropique sur le socle, au moment ou celle-ci fut connecté, un violent éclair énergétique projeta à terre le groupe, et un interrupteur d'alimentation du bouclier se déconnecta.
Malgrés la douleur cuisante que ressentai McKey, celui ci compris que si l'interrupteur n'était pas fermé, tout serai perdu, il empoigna l'arme d'un garde à terre, la déchargea, puis fonca, au dela de la souffrance, vers l'interrupteur, aprés avoir essayé de le reconnecté automatiquement à l'aide du bouton, ce qui fut un échec, il pris l'arme, et la placa entre les deux connecteurs de l'interrupteur, l'onde de choc énergétique formidable qui résulta de la mise sous tension du bouclier par la batterie ébranla toute la ville. La formidable quantité d'énergie traversa en un éclair le réseaux d'alimentation du bouclier, le pilier de lumiére bleue, qui était presque éteint, vira à une couleur orange trés vive et trés forte.

Depuis la salle de controle, le spectacle offert par ce miracle de la technologie laissa pentoi toutes les personnes présentes dans la salle, Pour faire simple, le bouclier avait sondain viré à une couleur orange vive, puis il commenca à gonflé, s'étendant au dela de la surface de la ville, l'énergie étaient telle que le bouclier avait dû augmenter sa surface d'emmission pour pouvoir supporter la charge. Le bouclier s'étendit aussi vers le haut, surprenant les vaisseaux qui le bombardait, ceux-ci s'écrasérent sur le bouclier, ou plûtot le bouclier les écrasa comme des mouche, les autres vaisseaux retournérent en orbite devant cette démonstration de puissance.
De l'orbite il continuérent à tiré non stop sur le bouclier, mais celui-ci, gorgé d'énergie, avait atteint l'épaisseur d'un vaisseau spatial, et pouvait repousser n'importe quelle attaque, mais les aliens, eux, ne le savaient pas.
Ainsi commenca le siége...

Des flashs lumineux dancérent devant ses yeux, de loin lui parvenait des écho de sons distordus, il ne parvenait pas à établir une logique à tout ce qu'il ressentai, c'était comme si il s'était retrouvé au fin fond d'un puit d'où il entendait mal la surface, et où il ne voyait rien.
Le coin de la conscience du président encore en état de fonctionner lui souffla qu'il était mort.
Peut-être était-ce le cas ?

Chapitre X : Coincés :

Blanc.
C'est l'unique chose que le président pouvais voir, du blanc.
Il venait de se réveillé, il n'avait aucune idée de combien de temps il était rester dans le coma. Il n'avait aucune idée d'où il se trouvait.
Un silence irréel reignait, il ne pouvait pas bouger ne serait-ce que la tête ou le petit doigt.
Dans ces conditions, il ne pouvait pas échapper à lui même...
Tout cela était passé si vite !
Comme un éclair, et pourtant les événements lui paraissait... distant, comme si il n'avait été que simple spectateur d'un sinistre spectacle.
Sa patrie avait-elle disparu comme lui avait peut-être disparu ?
Qu'était-il advenu de son peuple ?
Avait-il eu raison de faire confiance au gouverneur de Shandril : Aris ?
Etait-il rester des années dans un coma, quelque part dans un endroits inconnu ? Tout ce qu'il avait connu avait-il disparu ?
Ou pire, avait-il été gardé en vie par les aliens ?
Mieux aurait-il fallu mourrir tout compte fait. Quoique il ne savait même pas si il était mort en fait...
Des bruits de pas brisérent le silence et interrompirent ses réflèxions.
Il entendit une porte s'ouvrir. Un visage apparu dans son champ de vision, celui d'un homme en blouze blanche.
Sa peau avait une teinte chocolat, ses yeux noir observait les réactions du président, il avait un nez prononcé et été rasé de pret, Il n'avait aucun cheveux sur le crâne.

-Aaah ! Vous voilà enfin réveillé. Alors ? j'éspére que vous vous sentez bien ! Aah, et désolé que vous ne puissiez pas bouger, mais nous avons dû vous immobilisé complétement le temps que nous installions votre nouvelle colonne vértébrale.
le président s'exprima difficilement :
-Que...Quoi ?
-Oui, Vous avez été soufflé par une charge nucléaire, vous vous étes écrasé sur un rocher, ce qui vous a rompu la colonne vertébrale en bas de votre dos. Nous avons été obligé de vous mettre une dose massive de produit anti-radioactivité. Nous avons aussi dû vous opéré au niveau des yeux juste aprés vous avoir trouvé, d'ailleur vous vous étiez légerement réveillé pendant l'operation.
Vous avez de la chance que les soldats vous ait trouvé, quelque minutes de plus et vous seriez mort.
-Où...Où suis-je ?
-Vous êtes dans un complexe de l'armée, à quelques kilométres sous la surface de darkness, notre monde. Nous sommes de plus situé sous un désert stérile d'où la tranquilité du lieu, d'ici nous attaquons, détruisons et pillont les ressources volé par les aliens, nous en tuons, en ramenont certains sur lesquels nous faisont quelques...expériences.
-Je...j'suis rester combien de jour ici ?
-Et bien, avec toutes les opérations que nous avons dû faire, plus votre coma, vous êtes rester endormis pendant presque 2 semaine, précisément 12 jours.
-Vous avez... des nouvelles de... la république... d'argent ?
-Non malheureusement, depuis l'invasion nous n'avons aucun moyen de communiquation longue portée, cette base posséde juste un scanner courte portée suffisant pour voir en orbite. Mais nous ne l'utilisons pas souvent de peur de nous faire repéré. Et puis-je vous posez une question ?
La flotte qui est venu ici affronté les aliens, c'était la votre ?
-Oui
-Puis-je aussi vous demander comment vous vous appeler ? et qui vous êtes ?
-Mon nom c'est... David, et je suis...président... de la.. république... d'argent.
-Eh bien ! Et comment vous êtes arrivé ici ?
-Flotte détruite...me suis enfui dans... mon chasseur... et puis... poursuite... me suis craché... pas compris pourquoi...
-Trés bien David, ou monsieurs le président, enfin à votre guise. Sachez que vous risquez de rester dans cet état pendant encore quelques jours. Et sachez aussi que nous n'avons aucun moyen ici de vous ramenez chez vous. Je ne peut pas vous en dire plus. Je vous laisse vous reposer, vous avez déja suffisament souffert pour supporter mes question, allé, à bientôt.

Il parti et referma la porte... Pas à clé, voilà déja un bon signe.
Le président croyais cet homme, mais il ne savait pas pourquoi.
Bon, et bien, l'attente va être longue, mais pourquoi tout les plafond son blanc dans des hopital bon sang ?

Dans la salle du conseil d'Evaine, l'heure était grave, et les visages tendus par la peur.
Le gouverneur faeran, cachant la colére qu'il ressentais - à propos de la tactique insoussiante du président d'avoir attaqué cet ennemi surpuissant- était en pleine discussion avec l'état major de l'armée, ou plûtot de ce qu'il en restait, ainsi que les responsables civil de la ville, et quelques chercheurs.
Toute la surface de la planète avait été prise par l'ennemi, seul la capitale, protégée par son bouclier, resistait encore à l'envahisseur.

-Messieurs, J'aimerais avoir des informations sur notre état militaire et civile, ainsi que sur l'état du bouclier.
-Nos défenses ont été fortement endommagé,répondit un haut gradé de l'armée, nous réparons ce que nous pouvons réparé, certaines défenses qui étaient à l'extérieur du bouclier sont maintenant à l'interieur, ainsi que la périphérie de la ville, nous avons donc accés à plus de défenses, que nous allons pouvoir réparé, mais sachez que nous avons perdu 90% de notre potentiel défensif. En revanche, les chasseurs de la capitale n'ont pas subit de perte, puisqu'ils n'ont guerre eu le temps de combattre.
-Quand au civil, poursuiva un responsable de ce secteur, eh bien à l'interieur de la ville nous n'avons à déloré que trés peu de dégats, en revanche la périphérie à subie de lourd dommages, certaines tours se sont écroulé, d'autres ne demande qu'une petite secousse pour le faire.
Nous avons perdu une partie des générateurs électriques de la ville, en ce moment nous travaillons dessus. Quand à l'état des vivres, eh bien, nous pouvons dormir sur nos deux oreilles puisque l'usine de fabrication de pâte artificielle n'a pas été endommagé, nous en avons donc pour au moins 8 mois de nourriture, pour l'eau et bien, les usine de filtrages fonctionnent elles aussi, et nous somme sur un océan. Donc, aucun problème.
-Et pour le bouclier ? demanda Faeran.
-Hmmm, commenca un chercheur, C'est là que la chose se corse monsieur.
-Pourquoi cela ?
-Tout simplement parceque le bouclier n'a jamais été benêtçu pour recevoir une telle quantité d'éenergie, le bouclier s'est étendu, mais il ne pouvait plus s'étendre, donc il s'est, épaissi. Comme vous avez pû tous le constater, il reigne ici un noir d'encre, tout simplement parceque le bouclier est si puissant qu'il empêche la simple lumiére du soleil de passer.
Autre problème majeur, Les boucliers n'ont jamais été prévu, d'ailleur ce n'est pas possible, pour des longs siéges, surtout à cette puissance.
Voyez vous les boucliers d'énergie actuels permettent de faire passer la lumiére, normalement. Mais... ils ne permettent pas de faire passer l'energie, ni la matiére, donc, pas d'eau, et surtout, pas d'air !
Des murmures montérent dans la salle, et Faeran ouvrit de grands yeux.
-Oui, continua le chercheur, le bouclier empêche de passer l'oxygéne, que l'on le veuille ou pas. Ce qui fait que nous sommes actuellement dans une biosphére airmétique.
-Avons nous des systémes de recyclages de l'air ? Demanda faeran d'une petite voix.
-Non, répondit un responsable civil.
-Combien de temps pour la réserve d'air ?
-Eh bien, avec la surface du bouclier, en comptant les réaction chimiques de l'eau de mer continu à l'interieur du bouclier, le nombre d'habitants, les usines que nous allons devoir être obliger de faire tourner comme celle de traitement des eaux ou bien celles de fabrication de nourriture, et bien, nous dirions, au maximum, 6 semaines.
-On est mal.

Chapitre XI : En cage :

2 Semaines venaient de passé, Aris, aujourd'hui président - du moins croyait-on que son prédécesseur était mort - tournais en rond dans son bureau, trés anxieu, marmonant dans la barbe qu'il s'était laissé pousser faute d'avoir le temps de s'en occuper. Il fut interrompu par quelqu'un qui frappa à la porte :

-Entrez !

Son conseiller entra, Aris, habitué à recevoir toujours les mêmes rapports, ne tourna pas autour du pot :

-Quel avant poste, et quand ?
-Eh bien, ce n'est pas un avant poste...Pas tout a fait du moins...
-Alors c'est quoi ?
-Nous avons perdu le contact avec la station commercial d'Eisenberg. Leur dernier message remonte d'il y a 7 heures.
-Quoi ?! La station d'Eisenberg ? Mais elle gére 50% du commerce entre les colonies bon dieu ! Raaa, ils nous coupe nos routes commerciales !
-C'est aussi l'avis de l'état major monsieur le président.
-Pffff. Ca nous fait combien d'avant postes dont nous avons perdu le contact ?
-Exactement 17, celui de Thyrsis ayant cessé d'emmettre hier.
Aris s'effondra sur son fauteuil.
-17... en 2 semaines nous avons donc perdu 17 avant postes, dont 14 sont militaires. Et Thyrsis était un des plus important. Ils sont en train de gagner du terrain, toutes nos positions avancés se font prendre ou détruire les unes aprés les autres. Encore quelques avant postes en moins, et la planète mére ainsi que Shandril seront à découvert ! Et nous sommes seuls pour l'instant, qu'en est-il de nos alliés de la Tyrannie d'adoprixtoxis ?
-Eh bien, l'emmissaire est revenu couvert de fleurs avec comme vêtement un pyjama rose, je croit que ce peuple ne nous aidera pas beaucoup. Sans compter que maintenant il joue d'un instrument bizzare qu'il appelle une guitare en pleine rue.
-Moaarr ! Grogna Aris, tappant du poing sur son bureau.
-Avez vous des directives ?
-Oui ! Dites au general Alexander de se dépécher de mettre ces défenses en place !
-Bien.

Le conseiller allait partir quand il s'avisa qu'il avait oublié quelque chose.

-Aah oui j'allais oublier, un groupe de chercheur ainsi que le dirigeant de Colombe souhaiterez vous voir demain matin, ils ont juste dit que, ca allais vous plaire.
-J'en doute mais bon ! A moins qu'ils aient trouvé le moyen de massacrer cet ennemi dont on ne sait rien ! Mais ca j'en doute.

Sur ces mots, le conseiller s'inclina et partit, laissant Aris ruminer.

Dans la ville d'Evaine, capitale assiégée de la planète de même nom, à peu prés au même moment, la vie était dure, surtout pour son dirigeant, Faeran, qui recevait un des membre de son cabinet militaire :

-Alors, comment avancent les réparations ?
-Nous avons réparé presque la totalité du rideau défensif de la ville interne, mais c'est la seule bonne nouvelle.
-Quelles sont les mauvaises alors ?
-Eh bien, il nous est impossible de réparé les structures des batiments, nous n'avons pas de matériaux. Nous avons donc à peine trente pour cent de la surface de la ville qui est sûre, les gens sont donc tassé aux mêmes endroits, ce qui commence à posé des problèmes d'hygiénes, et bien entendu, le seul hopital que nous avons n'a que trés peu de place, ainsi que trés peu de médecins, qui sont déja débordés. Voilà pour la partie civile. Ensuite, les chercheurs disent que les emmissions du boucliers sont si fortes qu'elles ionise ce qui les entoure, et ils ont détecté cette energie d'ionisation y compris jusqu'au coeur de la ville.
-C'est dangereux ?
-Extremement monsieur. Cette energie va fragilisé les structures, altéré la santé de tout les être vivants, et surtout, il va ionisé l'air... c'est un obstacle imprevu qui pourrait nous faire perdre de précieux jours d'air, voir une semaine entiére.
-Donc si je comprend bien, ce qui nous maintien en vie c'est ce qui nous tue.
-Oui...
-Eh bien, prions pour qu'une aide extérieure arrive vite, sinon, les conséquences en seront catastrophiques.

15e Jour d'hospitalisation, bunker sous terrain, sous la surface de darkness. Le président, celui que tout le monde croyais mort, était à deux doigts de la crise de nerf, être enfermé ainsi pendant deux semaines l'ayant énervé au plus haut point, pour la quatriéme fois, celui-ci passait devant les dirigeant de la micro société du bunker :

-Je suis guéri ! Regardez moi ! A part ce bandage au bras je n'ai plus rien, je sais qu'on se trouve sous terre et en guerre contre ces foutues bestioles, mais je veut sortir ! Je veut sortir, ou je vais devenir fou, je devient déja fou !
-C'est à nous de dire quand vous serez guéri
-Ca fait la quatrième fois que vous me le dite !
-Ecoutez, vous l'avez dit vous même, on est en guerre, de plus, ici vous n'êtes chef de rien ! Il va falloir vous y faire ! Et vous ne sortirez pas tant qu'on en aura décidé, c'est ainsi. Vous venez nous voir une quatrième fois, soit, nous allons réexaminer votre demande, encore. Maintenant laissez nous, nous en rediscuteront bientôt.
-Mwé... fit le président, qui tourna les tallons, et s'en fût

Chapitre XII : Un peu d'air :

Aris, aprés une nuit agitée, s'habilla rapidement de vêtements amples et simples, ce matin on lui avait fixé rendez vous, un message avec le lieu du rendez vous lui était parvenu dans la soirée, il devait se rendre sur le spatioport pour y rencontrer le dirigeant de Colombe et une clique de chercheurs de tout les domaines militaires.
Avant de partir il lut tout ce qu'il pouvait sur cette colonie pour le moins mythique, si l'on pouvait dire, car beaucoup de rumeurs circulais sur celle-ci.
Colombe, perdu au fin fond de la galaxie, avait été découverte 500ans plus tôt par l'exploratrice Rickita Colombe, une planète possédant un climat chaud, ses vastes continents plats parsemés de marécages dans lesquels poussait des arbres gigantesque. D'un point de vue plus matérialiste, la colonie abritait au dernier recensement 557 millions d'âmes, soit en poinds démographique la 6e colonie, elle était dirigé depuis presque plus de 40ans -Un record !- par Beloon. Le peuple semblait l'apprécié, mieux valait le mettre dans son camp...
Les rumeurs circulants dans les magazines à sensations stipulais que colombe était le siége d'un complexe secret de l'armée travaillant sur des armements de destructions massives, bactériologique ou énergétique, et que celui-ci était justement caché depuis longtemps par le dirigeant de la colonie, un beau ramassis de mensonge, Aris avait déja épluché dans le passé les comptes de la colonies, et une installations de ce type aurait couté cher, or, rien...
Bon, se dit aris, il est temps d'aller rencontrer ces gens.
Arrivé au spatioport, il alla devant le vaisseaux qu'on lui avait indiqué, 2 hommes de sa garde personnelle dérriére lui.
5 hommes -dont Beloon, un grand homme mince arborant des cheveux blancs et une courte barbe impécablement taillé, le regard alerte- et 2 femmes l'attendait devant un transport.
Aris s'approcha et commenca la discution :

-Bonjour, bien, il parrait que vous vouliez me voir, maintenant j'aimerais qu'on m'en dise la raison.
-Excusez nous monsieur pour ne pas avoir pu vous dire le pourquoi de cette...réunion. Ce que nous avons à dire ne doit pas tomber entre les oreilles de n'importe qui, d'ailleur nous ne pouvons rien vous dire comme ca sur le tarmac du spatioport, venez avec nous, montez, nous avons quelque chose à vous montrer.
-Et c'est quoi ? Tant qui vous ne me direz rien, je resterais ici !

C'est alors qu'un homme sorti du vaisseau.
Aris le reconnu tout de suite à son double menton, son beret vert armée et son uniforme empli de médailles, il s'agissait du général Carter, l'un des officiers supérieur de l'armée le plus décoré, mais aussi le plus discret et le plus mystérieu, il était chargé du domaine des inovations en matiére militaire, tout ce qui touchait la recherche militaire passait par lui.
Carter pris la parole :

-La Matriarche, il s'agit d'une "nouveauté", une chose qui va nous permettre d'exterminer la vermine qui se masse à nos portes. Nous avons trés longtemps garder un secret absolu, nous ne pensions pas que nous aurions dû en parler si tôt, mais il le faut aujourd'hui. Montez, et je vous expliquerais tout.

Exterminer ? Exterminer !? Voilà qui promettait !
Aris, gagné par la curiosité plus que par autre chose, monta finallement dans le transport, 5 minutes aprés, ils étaient en orbite, un bon hyperspacial eu lieu, Carter et le dirigeant de Colombe lui dirent qu'il comprendra déja bon nombre de chose quand il verra la matriarche.
Tout le long du voyage, Aris tenta de leur faire dire ce qu'il appellai la matriarche, tous refusérent, lui expliquant qu'il valait mieux qu'il voit ca de ses propres yeux.
Enfin le petit transporteur sorti d'hyperespace, carter fit signe au président de regarder par le hublo tribord :

-Voilà monsieur le président, je vous présente la Matriarche.

Seul dans sa chambre, le président, le vrai, tournais en rond, ne sachant pas quoi faire de ses journées qui lui paraissaient aussi longues que des semaines entiéres. L'infernal tic tac de l'horloge omniprésent.
Le président allait sortir faire un tour dans les couloirs lorseque quelqu'un frappa à sa porte, il ouvrit, apparut alors sur le seuil la personne qui venait d'habitude lui apporté les refus du conseil dirigeants du bunker.

-Alors ? Ils ont dit non je suppose ? Et il invoque quoi ? Toujours la même chose ? Je suis trop faible pour bouger c'est ca hein ?
-Le conseil à réexaminer votre demande, il vous ont juger apte à pouvoir reprendre des activité d'ordre militaire.
-Il était temps ? Et je fait quoi alors ?
-Vous avez été engagé comme officier chargé de la surveillance et de l'obeissance des troupes, un surveillant en quelque sorte.
-Un surveillant ? En bref je doit faire respecter l'ordre et la discipline c'est ca ?
-C'est exact, cependant vous n'avez pas été envoyer n'importe où, le conseil à décidé de vous muter à une escouade d'ogre.
-Des quoi ? Des ogres ?!
-Oui
-C'est quoi ?
-Ce sont des soldats génétiquement modifié, leur hiérarchie est attaché au commandement militaire cependant ils fonctionnent par clans, c'est à dire en petites milices, vous avez été muté au clan des Casses Bras. Voilà tout, vous devez vous rendre demain à 8heures au bureau de l'armée, là bas, vous serez incorporé à votre unité. Ce sera tout, aurevoir.
- Ouai salut...

Mais c'est quoi ca ?? Des ogres ? Les casses bras ? Surveillant ? eh ben, leur système militaire est bien étrange, mais bon, vaut mieux ca aprés tout que de tourner en rond dans cette piole de malheur. Oui, aprés tout, même si ce n'est pas ce que j'attendai, c'est mieux que d'attendre !
Il prépara ses affaires pour le lendemain, il allait enfin pouvoir faire quelque chose de ca carcasse ! Cette nuit là, il dormi bien, demain allé être une journée chargée pensait-il.

Chapitre XIII : La Matriarche :

A bord du transporteur, Aris restait littéralement sans voix, les yeux exorbité parcequ'il voyait, il avait du mal à en croire ses yeux.
Il avait cru voir une planète jusqu'a ce qu'il remarque des petit points lumineux sur sa surface, des hublos !
Il
se trouvait en face d'un vaisseaux d'une taille tellement gigantesque
qu'elle en était presque inimaginable de l'avoir construit. Et pourtant
cette "matriarche" était bien là devant lui, masquant le soleil et
écrasant le transporteur de son ombre énorme.

Suis-je fou ? pensa-t-il.

Mais ses réfléxions chaotiques furent interrompu par le gouverneur.

-Hem...Nous
avons mis des décénies à la construire. La matriarche est un vaisseau
de guerre d'un genre nouveau. Une nouvelle classe de vaisseau, ou de
station, comme vous le souhaitez, que nous avons batisé Etoile d'argent.
La matriarche est le premier vaisseau de ce type.
Si vous voulez bien nous suivre aprés, nous allons vous faire visiter.
-Je veut TOUT savoir...

Le
transporteur apponta dans un immense hangar sombre éclairé faiblement
par de gigantesques colonnes de néons rouge, suffisament grand pour
acceuillir un vaisseau de classe croiseur lourd. Et se posa sur une
plate forme ascenseur, qui le fit descendre sur le pont.
La porte
s'ouvrit finalement et les passagers sortirent, des mécaniciens prenant
en charge de garer le vaisseaux dans une alcôve.
Ils étaient dans une sorte d'immense couloir, si long qu'on pouvait voir la courbure de l'étoile d'argent.
Sur
les cotés et à perte de vue, des rangées l'acoves sphériques
contenaient matériel, vaisseaux, réservoirs portable de carburants,
armes et munitions, une quantité colossale.

-Voici
le pont, il fait tout le tour de la Matriarche, c'est ici que sont
entretenu, préparé et réparé les vaisseaux de petites tailles.
Nous venons d'entrer dans le vaisseaux par l'un des six hangars d'envol qu'elle posséde. Par ici je vous prie.

Le gouverneur les guida dans un module de transport, voyagant dans un tube transparent.
Assis, le gouverneur repris la parole.

-Commencons
par le commencement, la station fait soixante kilomètres de diamétre,
elle est divisé en deux hémisphères, ici nous sommes en train de
descendre dans l'inférieur, qui contient les lieux habitables de la
station.
Le supérieur étant composé principalements de machines et de générateurs et centrales électrique.
En
ce qui concerne le niveau inférieur, il contient exactement six mille
niveaux, dans toute cette partie inférieur vie une véritable micro
société, basée bien évidement principalement sur le militaire.
Nous
avons des quartiers d'habitation, des serres contentant suffisament de
végétaux pour pouvoir recycler prés d'un tier de notre air par ce moyen.
Nous
avons des usines, des écoles militaires, des centres de formations
techniques, des laboratoires de recherches et bien d'autres.
La
station posséde six forterresses réparties équitablement autour de
l'axe centrale, chacune controlant une des six sections de la stations,
les portes blindés, les tourelles automatiques et les systèmes de
défences. Elles sont bien évidement solidement défendues.
La station
posséde une capacité optimale d'acceuil de cinq cent mille personnes,
au maximum nous pouvons caser un peu plus de six cent cinquantes mille
personnes.
Sur les cinq cent mlle, trois cent mille sont des
militaires, cinquantes mille par forterresses. Les autre spersonnes
étant des ingénieurs, mécaniciens, constructeurs, ouvriers, cent mille
personne en tout. Les quatre vingt milles personnes restantes sont les
équipages des vaisseaux à quai, chasseurs comme unités lourdes, ainsi
que les enfants des personnes habitants ici à plein temps, nous n'avons
pas eu vraiment le choix.
Voilà pour le secteur interne. Pour ce qui est des défenses externes, la station n'est bien entendu pas en reste.
soixante
milles batteries lasers, vingt milles batteries à ions, cinq milles
canon electromagnétique, et un millier de blaster plasma presque tout
droit sorti des laboratoires de recherche.
La station posséde douze
émetteurs de bouclier, réparti uniformément dans la station, six par
hémisphères, les plus grands qu'on ai jamais construits !
Le
blindage en lui même de la station est en alliage composite
carbone-acier, sur environ 60 à 80 mètres d'épaisseur par endroit.
La
Matriarche est propulsée par un moteur d'un nouveau genre qui
fonctionne sur l'antigravité, pour les déplacements à vitesse normale,
pour ce qui est des voyages hyperspatial, elle posséde naturellement de
quoi voyager, mais à vitesse lente compte tenu de sa taille colossal et
de l'énergie importante qui doit être utilisée pour sauter.
-De l'antigravité vous dites ? Demanda Aris.
-Oui,
c'est la grande inovation qui fait l'avantage principal de ce
vaisseaux, pas vraiment la proplusion, mais plutot, ses armes, ou je
dirait plutot, SON arme.
-C'est à dire ?
-Eh
bien, intervena une des deux chercheuses, nous avons mis au point une
technologie permettant de manipuler des gravitons, ces particules qui
créent la gravité, cela permet de les manipuler sans danger et en
quantité énorme, mais cela requiert une quantité d'énergie conséquente.
-Oui,
repris Beloon, cela m'améne au principal atout de la station, son canon
à graviton, que nous avons batisé MAD, Méthode Absolue de Destruction,
un parfait acronyme pour un monde en folie.
C'est en partie à cause
de lui que le niveau supérieur de la station n'est composé pratiquement
que de batteries géantes et de générateurs.
-Ah, et quels sont les effets de ce canon ?
-Eh bien, euuh, interrompi un chercheur, nous ne le savons pas encore.
-Comment vous n'avez jamais testé votre soit disante arme suprême ?
-Nous vous attendions pour le faire.
-Ohlàlà...

Le
module s'arrêta, le groupe ressorti sur un petit quai où se trouvaient
quelques personnes qui saluèrent le vice président, qui leur fit un
bref signe de tête. Le groupe arriva dans un long couloir linéaire,
sans courbure et bien plus petit, sur les côtés se trouvaient des
quartiers d'habitations.
Beloon lui expliqua qu'ils se dirigeaient
vers l'axe central de la station, qui reliait son pôle sud à son pôle
nord, et autour duquel s'enroulait sur plusieur niveau le centre de
controle et de commandement principal de la station, lui aussi
solidement fortifié.
En chemin, Aris perdit son sang froid, trop de questions étaient sans réponses.

-Mais
comment ?! Quand ? Où ? Comment avait vous fait pour garder tout cela
secret sans que je n'en sache rien ! David Maindargent, le président,
m'en aurait parler si il avait été au courant ! Pourquoi n'avoir rien
dit à personne de tout cela ? Mais où avez vous été chercher les moyens
de fabriqué cette chose ?! Avec quel argent ? Et...et d'où vienne ses
gens ? Ils y a ici cinq cent milles personnes et...ca n'est jamais
arrivé à nos oreilles ?! C'est dément, je rêve ! Pourquoi n'en avoir
parler à personne, gniiiii !
-Nous
n'avons pas eu le choix monsieur ! répondit calmement Beloon le
gouverneur de Colombe. Le projet aurait était annulé, aurait eu pleins
de problèmes si nous avions pas décdé de faire tout cela en cachette.
-En
cachette ?! Cinq cent mille personnes vous appelez ca en cachette ?
C'est pour ca que vous êtes resté au pouvoir aussi longtemps ?!
-Entre autre oui. Ecoutez nous n'allons pas nous attarder sur cela, nous avons d'autre chats à fouetter.
-Oui ce n'est pas vraiment le moment je suppose, mais on en reparlera un jour !